En 2015, je n'en pouvais plus d'entendre cette expression : "crise des migrants". Cette une vieille et durable révolte chez moi, de constater cette perpétuelle volonté d'une partie de l'humain a imaginé qu'il peut définir ce qui est "nous" et ce qui est "eux", qui croit savoir qui est le bienvenu et qui ne l'est pas, qui se croit à l'abri de devoir partir de chez lui. S'il le faisait, il aimerait que, là où il arrive, on lui dise ce mot : bienvenue,
C'est l'acte d'accueillir qui permet d'être dans une relation d'un à un.
L'accueil est une responsabilité. La réussite de la rencontre commence par ce premier acte.
Bienvenue.
En résonnance avec : Inscrire l’acte d’hospitalité au patrimoine culturel immatériel de l’humanité / Sébastien Thiéry
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